29/10/2024
AAC "Labels Patrimoniaux : stop ou encore ?"
Le projet LAPTER (Labels patrimoniaux et touristiques en région Centre-Val de Loire : une ressource territoriale ?) se penche depuis 2022 sur la mobilisation...
Publié le 13 septembre 2017 - Mis à jour le 21 septembre 2017
Cet article date d'il y a plus de 7 ans
La lauréate de cette troisième année est Julie Maquet, installée à La Colombière depuis le 7 août et jusqu’au 18 septembre. Née en 1990, elle a obtenu son Diplôme National Supérieur d’Expression plastique à l’école supérieure des Beaux-Arts TALM ANGERS en 2015. Julie Maquet travaille le volume, la sculpture.
Son travail à La Colombière s’est engagé dans l'intention de transformer l’espace qui est mis à disposition en « cabinet de curiosités », revisité de façon contemporaine, pour montrer une série de productions à la fois en relation et en décalage avec le contexte du paysage culturel du Val de Loire, réalisées à partir d'une collecte et d'une récupération permanente d'objets du banal et du quotidien.
Son objectif est de proposer une image de la nature, une interprétation qui lui est propre. Mais à travers le vecteur de la nature il s'agit également d'interroger notre rapport aux notions de standard, de norme et de conformité, et donc de « monstruosité », notions fabriquées et mises en place par le monde humain.
A l’occasion des Journées européennes du patrimoine les samedi 16 (de 14h à 18h) et dimanche 17 septembre (de 10h à 12h et 14h à 18h) prochains, un rendez-vous est proposé pour découvrir le travail de Julie Maquet à La Colombière, hameau de Préban, commune nouvelle de Gennes Val de Loire
La Fondation Marquise de Narros-Institut de France, la Mission Val de Loire et la commune de Chênehutte-Trèves-Cunault, souhaitant redynamiser la Colombière, ont décidé de consacrer les résidences à venir au thème du paysage. L’association Tourisme et Culture, en lien avec les différents partenaires, participe activement à l’ouverture du lieu et à son rayonnement.
La Colombière est la propriété de la Fondation Marquise de Narros-Institut de France suite à un legs. Cette maison a été l’habitation et le lieu de travail du sculpteur Gustave Pimienta pendant une trentaine d’années jusqu’en 1982.
Danièle Sallenave, de l’Académie française, auteur du Dictionnaire amoureux de la Loire et sensible à l’histoire et à la beauté du site, est conservateur de la Fondation Marquise de Narros-Institut de France, propriétaire du lieu. Elle préside le jury de sélection des résidents.
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L’équipe de la Mission Val de Loire.